L’évolution de la lithophanie aux techniques de gravure actuelle tient notamment source de la grande popularisation de l’impression en 3D. La méthode pourtant presque antique connais dès lors une réelle modernisation à travers les différents procédés techniques et logiciels créé pour ce fait. L’invention de la lithographie lithographie
3D représente une approche de classe pour les amateurs d’art dans le monde. Voici quelques principes du procédé en question.
A lire également : Quelles astuces pour perdre du poids rapidement ?
Plan de l'article
En quoi consiste la lithographie 3D ?
En principe, la lithographie 3D s’utilise dans l’optique de parvenir au tirage automatique d’une figure 3D au biais d’une image réel. Cette réalisation s’opère sous deux éventualités :
D’abord, on suppose que la photo représente une personne, un objet ou un environnement dans lequel les niveaux de gris font office de profondeur. L’image généré dans ce cas sera un relief de l’original. Par ailleurs, il peut s’agir d’une photo convertie automatiquement en niveaux de gris dont le relief proviendra des contours et des teintes de gris.
A lire également : Bruno Pésery : présentation et biographie
La première possibilité tient pour aboutissement, la représentation d’un objet. La deuxième quant à elle permet la gravure d’une photo sur une matière translucide dans le but d’illuminer ce dernier ; pour un bel accessoire décoratif par exemple.
Choisir l’image à imprimer en lithographie 3D
L’option de l’image à imprimer en 3D suit la même logique que celle du procédé lithographique en question. De ce fait, cela vous offre également deux alternatives envisageables. Vous pourrez opter pour une image en niveaux de gris dont la texture représente le fond pour ainsi créer au final un objet en relief. En l’occurrence, une photo de vacances serait parfait.
En dépit des critères de base, il faudrait pour cette dernière éventualité que la (s) personne (s) ou objet (s) soient détachées du fond de l’image pour une meilleure finalité. En réalité, dans le cas où le celui-ci contiendrait beaucoup trop d’éléments ou serait désuni, la chose à faire transparaître en relief dans la lithographie se retrouve perdu.
En alternative, l’option d’une photo de vous au bord d’une plage sera une belle réussite. Par contre, si elle présente un excès de détails dans le genre ; une forêt avec des feuillages, la finalité ne sera sûrement pas le reflet visé comme objectif.
Transformer l’image sélectionné en 3D
Les procédés de la lithophanie 3D ayants particulièrement évolué, la transformation des images en 3D s’opère désormais à travers des plateformes spécialement conçus pour ce fait. Vous pourrez ainsi vous référer aux plateformes Abeille 3D, ItsLith ou saisir le lien ci-après : http://3dp.rocks/lithophane/. En l’occurrence, il est également possible de passer par le logiciel des plateformes afin de transformer l’image en fichier STL.
Dès que vous accédez au site, vous devrez sélectionner l’image et placer la photo de votre choix. Il faudra ensuite définir la forme sous laquelle vous souhaitez la transformer.
La forme de référence étant le « flat », vous vous dirigerez vers les paramètres de modèle pour en choisir taille. De même, vous devrez définir l’épaisseur du relief prévu pour votre chef d’oeuvre. La qualité de la transcription en 3D dépendra de la taille sélectionné.
En d’autres termes, plus elle est importante et plus il y aura de 3D. Gardez-vous néanmoins de dépasser les limites recommandables (2 mm, 2, 5 mm ou 3 mm) ou vous aurez du mal à l’impression. Il faudra pour finir passer l’image en positive dans les paramètres d’image (la configuration initiale étant le négatif). Procédez ensuite au refreshing pour apprêter l’image et télécharger le fichier STL produit par la suite.
Procéder à l’impression 3D
Le plastique translucide fait partie des outils recommandables pour l’impression d’une lithographie. Grâce à la transparence, il améliore l’éclairage de l’objet au profit d’un meilleur rendu. Il convient dans ce cas d’opérer un remplissage complet afin de faciliter la visualisation des effets.
Dans la majorité des cas, le brim est décrété facultatif. Il reste toutefois préférable d’en ajouter pour améliorer l’accroche au plateau lorsque vous imprimez un cadre plat à la verticale.
L’épaisseur de couches détermine leur visibilité après l’impression. Il convient de ce fait de la limiter à 0,1 mm pour ne pas perdre du détail. Ce risque est en effet fortement courru lorsque vous imprimez en dessus de 0,15 mm et que les couches sont trop visibles.
En ce qui concerne la vitesse, il faudra préférer un ajustement à 50 % en externe et un réglage sur 50 mm/s. Vous éviterez ainsi les effets fantômes issus des vibrations de la tête d’impression apportant par la même occasion, une bonne touche de précision à la production.
Note : Le choix du filament sera également très déterminant à la réussite de la lithographie. L’utilisation d’un PLA par exemple sera favorable à l’excellence du rendu surtout pour un objet de décoration. Le filament ABS quant à lui est généralement utilisé pour combattre les sources de lumière à l’origine de la chaleur.
En son caractère révolutionnaire, la lithographie 3D peut paraître compliqué à première vue. Mais vous détenez ici la preuve qu’il s’agisse en réalité d’un procédé à toute porté.